Barry Can’t Swim
Il est difficile de deviner qu’un producteur de dance innovant se cache derrière le nom de Barry Can’t Swim. L’Écossais Joshua Mainnie a souvent dû expliquer l’origine de ce pseudonyme. « C’est une blague qui a perduré et je m'y suis habituée Au début de ta carrière, tu ne penses jamais que la musique va devenir toute ta vie ». Et pourtant, c’est exactement ce qui s’est passé. En somme, le nom Barry Can’t Swim colle parfaitement à son mélange d’afrobeat, de house et de jazz. Mainnie débute en tant que pianiste dans les clubs de jazz d’Édimbourg. Un stage chez le label de dance SOMA Records le pousse vers la musique électronique. C’est un peu comme un retour aux sources. Son premier album, When Will We Land? (2023), se retrouve dans toutes les listes de fin d’année. Selon ses propres termes, il s'agit d'un « truc jazzy honnête ». En concert, il y ajoute guitare et batterie, créant une énergie irrésistible.